jeudi 27 janvier 2011

Les maux de dos à la lumière du reiki


Les épaules et le dos sont sans aucun doute les zones où nous portons nos doutes, nos responsabilités et nos tensions inconscientes. La plupart des gens ont besoin d'un traitement de ces régions.
Il est possible grâce au reiki, d'aider le patient à absorber l'énergie, à lever les blocages énergétiques et à capter la nouvelle force vitale.

Evacuer la colère
Les praticiens pensent que nous portons les fardeaux de la vie sur nos épaules. Il est courant que les souvenirs du passé fassent surface pendant le traitement des zones du haut du dos. Ces vieux souvenirs peuvent causer une modification du rythme de la respiration voire des pleurs et des sanglots. Une certaine dose de frustration et de colère se révèle alors et peut ensuite être évacuée.

Les tensions inconscientes
Les problèmes de dos figurent comme l'une des 1ères causes des arrêts maladie. C'est ici, selon le reiki, que nous stockons nos émotions inconscientes et notre excès de tension. La jonction entre le haut et le bas du dos peut être particulièrement vulnérable. Tandis que les femmes ont tendance à stocker leurs tensions dans le dos, les hommes gardent souvent leurs émotions dans le ventre, ce qui peut causer des problèmes dans le bas du dos.

Le dos peut s'analyser sous différents aspects, d'après les textes sur le reiki, sur l'épaule gauche, nous portons le poids des attentes de notre mère, sur l'épaule droite celles de notre père.
Une grande partie de notre bagage émotionnel est stocké dans le bas du dos.
Un traitement à la base de la colonne permet d'améliorer le flot d'énergie dans toute la colonne.
(A. Charlish/ A. Robertshaw)

Il s'agit là d'un bref aperçu du reiki, cependant le nombre important de personnes touchées par ces maux, pourraient peut-être s'y retrouver. Et pour les sceptiques, Patrice Gros rappelle une phrase d'Einstein:" La théorie, c'est quand vous savez tout mais que rien ne marche. La pratique, c'est quand tout marche, mais nul ne sait pourquoi."

lundi 24 janvier 2011

Food.inc

Dans le cadre de la semaine pour l'abolition de la viande, et sur ce blog, au nom de la non-violence "Ahimsa", voici le lien d'un documentaire (le 1er de 6 chapitres)sur l'industrie alimentaire.

http://www.youtube.com/watch?v=4_tbAEM-eDE

Il est toujours facile de fermer les yeux, se voiler la face, mais peut-être qu'à l'heure d'aujourd'hui, il serait de bon augure de prendre quelques initiatives, de faire un 1er pas pour la paix et l'harmonie.
En connaissance de cause, avec prise de conscience, chacun pourrait, s'il le voulait contribuer à la fin d'une absurdité sans limite.

Pour les végétariens, végétaliens, et les omnivores, il est possible à chacun de réfléchir à une évolution...juste pour au moins pouvoir dire, "NON je ne cautionne pas ça!", mais oui aujourd'hui la viande a un prix, et si je décide d'en consommer, au moins, je n'alimente pas ce marché inhumain.

dimanche 23 janvier 2011

Du 24 au 30 janvier 2011, Semaine mondiale pour l'abolition de la viande




La Journée mondiale pour l'abolition de la viande (JMAV) a pour but d'introduire dans le débat politique et citoyen la question de l'abolition de la viande. Six millions d'animaux terrestres sont tués dans le monde toute les heures pour être transformés en viande. Le nombre d'animaux marins tués est plus grand encore. La consommation de viande cause plus de souffrances et de morts qu'aucune autre activité humaine alors qu'elle n'est en rien nécessaire.

De nombreux collectifs se mobilisent pour promouvoir cette revendication. Il ne s'agit pas simplement d'inciter les consommateurs à modifier leur comportement individuel (en devenant végétariens ou végétaliens) mais de prôner auprès des citoyens l'interdiction légale de l'abattage des animaux et de la consommation de leur corps, pour des raisons éthiques.

Nous espérons que cette initiative fortifiera le mouvement animaliste au fil des années. S'il est important de s'adresser aux consommateurs, nous devons aussi nous adresser aux citoyens, comme l'ont fait les militants pour l'abolition de l'esclavage. Eux aussi étaient minoritaires en leur temps, et ils luttaient non seulement en incitant les consommateurs à boycotter les produits issus de l'esclavage, mais également en prônant l'abolition de l'esclavage au niveau politique.

Il importe aujourd'hui de mettre explicitement en question la question de la viande afin d'ouvrir peu à peu un débat public sur sa légitimité.

À l'occasion de cette journée, des conférences, des actions de rue, des distributions de tracts ainsi que des stands d'information seront organisés pour propager l'idée que la consommation de produits carnés n'a aucune justification éthique et devrait par conséquent être interdite - tout comme l'esclavage humain fut interdit en son temps.

meat-abolition.org

vendredi 21 janvier 2011

La spiritualité indienne


La spiritualité est au cœur de la vie quotidienne en Inde. La religion est perçue comme étant au service de l’homme dans sa recherche incessante du bonheur.
La philosophie indienne croit en l’unité du créateur et de la création. Dieu imprègne toutes choses. L’âme de chaque individu, dans sa forme épurée, est en réalité l’Atman, c’est-à-dire Dieu lui-même. Aussi, tous les êtres conscients de cette réalité ne peuvent que respecter scrupuleusement l’ensemble des objets de la création en tant qu’expression du divin. C’est le concept de Ahimsa, la non-violence. Il a été popularisé en Occident par la vie de Mohandas Gandhi, le père de l’indépendance indienne.

L’hindouisme ne reconnaît pas au mal une existence autonome. La création est parfaite par nature. C’est l’homme, dans l’exercice de son libre-arbitre qui, par ignorance de sa véritable nature, crée la souffrance. Il est généralement admis que l’humanité traverse actuellement le Kali Yuga, une période caractérisée par la prédominance des valeurs matérialistes au détriment de la spiritualité.
La tradition explique que l’individu est prisonnier du Samsara, le cycle des naissances et des morts. Aussi renaît-il de manière récurrente en fonction de son Karma pour expérimenter les effets positifs et négatifs de ses actions passées. Celles-ci laissent des empruntes sur l’individu qui conditionnent ses perceptions et son comportement, les Samskaras.

Pour échapper aux effets négatifs du Karma, l’individu peut se soumettre à une stricte discipline. Aussi, la société indienne traditionnelle était organisée pour proposer quatre étapes, ou Ashrama, à la vie de l’homme : La première est celle de Brahmachari, une jeunesse dédiée à l’étude et à la vie pure et chaste. La deuxième est celle du Grihastha, l’homme marié qui fonde une famille pour transmettre à ses enfants la connaissance qu’il a acquise. La troisième est le Vanaprashti, une fois que ses devoirs familiaux ont été accomplis, il se retire, le plus souvent avec son épouse, dans la solitude. L’ultime étape est celle du Sanyasa, littéralement renonciation totale. Elle implique la perception de la vanité de toutes les entreprises mondaines et le service du monde, à l’exclusion de toute activité égotique.

La vitalité de la vie spirituelle en Inde est aujourd’hui une force d’inspiration dans le monde entier. La tradition spirituelle indienne est désignée par l’expression sanskrite Sanatana Dharma – la loi éternelle –. Mieux connue en Occident sous le vocable « hindouisme », elle est probablement la plus ancienne religion du monde. Avec plus de 900 millions de fidèles, elle représente la troisième religion du globe en terme numérique après le christianisme et l’islam. D’Alexandre-le-Grand à André Malraux en passant par Nietzsche, Schopenhauer et bien d’autres, la spiritualité indienne n’a cessé d’interpeller l’Occident au cours des siècles, depuis l’antiquité jusqu’à l’époque contemporaine.

L’une des particularités de la tradition indienne est sa tolérance. Elle reconnaît l’égale valeur de toutes les religions qui ne sont que les expressions particulières des différents chemins qui, tous, mènent à Dieu ou à l’unité. Aussi n’impose-t-elle pas la notion de conversion religieuse.

L’hindouisme est donc davantage un mode de vie et de pensée qu’une religion organisée avec ses dogmes et ses églises. Contrairement à une idée répandue, l’hindouisme n’est ni un polythéisme ni un monothéisme. Il suppose l’existence d’un principe unique préexistant, Brahman, qui se décline dans l’infinie diversité de la création ainsi qu’au travers d’une multitude de divinités.


texte issu du site d'Amma

mercredi 19 janvier 2011

Reiki


Rei : universel
Ki : énergie vitale

Son origine
Le reiki est une technique de soin naturelle qui a été redécouverte par le Docteur Mikao Usui dans les années 20 au Japon.
Suite à des études dans la littérature sacrée, et à une prise de conscience profonde, Mikao Usui a mis au point son « système de guérison naturelle. »

Ses principes
L’énergie est transmise du thérapeute (qui n’est qu’un vecteur), vers le demandeur par les mains.
Le Reiki est une énergie de haute source spirituelle, il sait où il doit aller et quoi faire. C’est une canalisation, donc le thérapeute n’est jamais « vidé », au contraire, il ressent aussi les effets bénéfiques du soin.

Ses effets
Il se pratique sur les hommes, les animaux et les plantes.
Il favorise la relaxation et l’élimination du stress.
Il apporte une sensation de bien-être et harmonise les énergies.
Il accélère le processus de guérison et il agit sur l’origine du mal.
Il peut déclencher des libérations émotionnelles.
Il active les démarches méditatives.
Il accroît le processus de prise de conscience.
Il ouvre au travail spirituel.
Il s’harmonise avec toute forme de thérapie (sans remplacer le médecin, ni les médicaments).

Qui peut le pratiquer?
Toute personne peut être initiée. La pratique régulière sur soi favorise des effets bienfaisants et renforce la résistance du pratiquant.
Il peut être dispensé pour les autres, mais il est avant tout un outil de développement de notre propre conscience.
Il se pratique de façon autonome et peut faire l’objet d’un travail de groupe.

mardi 18 janvier 2011

Evolution


Dans la philosophie du yoga, comme nous l'avons déjà vu, Jiva (l'être conscient) comprend 3 corps (physique, subtil et causal). Tout au long de notre vie, nous expérimentons à tous les niveaux et parfois comprenons, une minuscule partie des vécus du corps causal.

L’être humain mortel est sans cesse en changement, qu’il s’agisse du physique, mais également au niveau mental.
A partir du moment, où il y a évolution, il y a changement et bien qu’une personne puisse conserver ses propres idées sur des points précis, il ne peut y avoir de stagnation.
L’être qui a expérimenté une chose avec un certain état d’esprit, à un âge particulier, ne peut plus être considéré de la même manière des années plus tard. Son esprit, mais également toutes ses cellules ont vécu des transformations qui justifient un nouvel être. Même en prenant l’exemple d’une personne très sédentaire et stable, la vie tout autour est là pour le secouer, le pousser à s’étendre, à s’épanouir, à se chercher, bref à se réaliser…

Et encore plus à l’heure d’aujourd’hui. Comment imaginer une seule seconde conserver quelque chose qui nous dépasse complètement…C’est tout simplement impossible !

A partir de là, de cette conscience de l’impermanence de toutes choses, il est bien de réfléchir à sa vie, à savoir ce qui a de l’importance à nos yeux, et à notre cœur, et partir dans cette direction…

vendredi 14 janvier 2011

Affronter


"Affrontez tout ce qui vous semble réel. Regardez sa véritable nature. Si quelque chose vous trouble, c'est le signe que cette chose est réelle pour vous. Cessez de fuir...Ayez le courage d'affronter les faits. Acceptez, acceptez ce qui est, n'essayez jamais de les refuser, de rejeter. Accepter et devenez cela même qui vous trouble.

Rester en contact direct est indispensable pour vous permettre d'élargir votre champ de conscience étriqué. Quand vous avez tout absorbé, quand vous avez tout exploré, quand vous avez été partout, alors et alors seulement, vous pouvez devenir un."

Swâmi Prajnânpad

jeudi 13 janvier 2011

Connaître


"Connaître une chose et en vivre une autre est une erreur, un contresens. A partir de là, une tension apparaît. Elle est due au conflit de la pensée et du sentiment. Connaître, c'est être.
La connaissance ne peut être que vécue. Vous ne connaissez que ce que vous êtes vous- même.

Si vous savez que la dualité est une illusion, vous ne pouvez pas être affecté par les conséquences de la dualité. En d'autres termes, aussi longtemps que vous êtes affecté par l'amour et la haine, le plaisir et la peine, tout ce que vous racontez sur la nature illusoire de la dualité n'a aucun sens!

Personne n'est affecté par une illusion! Vous n'êtes affecté que par les choses que vous savez être REELLES."

Swâmi Prajnânpad

mercredi 12 janvier 2011

La puissance de la puja


Puja en hindi signifie prière.

L’idée me vient d’écrire à ce sujet, car je remarque que souvent les projets, et différentes ambitions, à condition d’être bien entourés, ficelés, formulés, bref nourris de tout ce dont ils ont besoin, aboutissent de façon merveilleuse.

Personnellement, j’aurais de nombreux exemples à évoquer. Il s’agit disons, d’une question de priorité. Si l’on offre à un projet cette priorité, cette 1ère place dans notre esprit, que l’on travaille à tous les niveaux pour parvenir à ce résultat, tout en gardant en tête la certitude, que oui, cela se fera, qu’il s’agit de ce à quoi l’on tend, ce à quoi on aspire. Il ne s’agit alors que d’une question de temps. Cet objectif se révèle à nous tel un défi, et lorsqu’il est positif pour nous, pour notre entourage, donc viable, peut importe la forme, peu importe les moyens, le fait est là ! Il s’agit de se faire face, d’être à la hauteur de nous- même en quelque sorte.

En yoga, on utilise parfois des mudras (Apan mudra, Kubera mudra) qui, utilisés régulièrement avec une intention particulière aident à l’accomplissement d’objectifs. On dit que la pensée constitue le pouvoir de procréation, le père ; et le sentiment est la puissance de la forme-pensée, la mère. Les plantes nécessitent du temps pour atteindre leur pleine floraison, et il en est de même pour nos objectifs ou projets.
En Inde, il est habituel de faire des pujas pour énormément de choses. Cependant, nul besoin d’être à Bénares pour des pujas qui aboutissent, en tout cas jusqu’à présent elles me furent assez fructueuses…

Je continuerai donc mes pujas…ne serait-ce qu’en remerciements !

Hare Om !

mardi 11 janvier 2011

Action- Réaction


C’est la nature. La loi est celle-ci : pour toute action, il y a une réaction égale et en sens opposé.

Prenez une feuille de papier plane. En la courbant et en la tournant faîtes-en un cornet concave, vous voyez qu’elle devient convexe à l’extérieur. Ainsi vous souhaitez le concave et vous obtenez en même temps le convexe. Mais vous ne souhaitez pas le convexe ? Alors aplatissez- la et le concave disparaît également.

Vous faîtes quelque chose en connaissance de cause, de manière complète, mais si vous avez une émotion aussi légère soit-elle, elle induira une réaction équivalente. Lorsque l’action n’est pas accomplie par un sujet conscient, c’est une action compulsive qui entraîne obligatoirement une réaction.

La réaction se produit pour compenser l’action : compenser veut dire annuler. Si la réaction compense l’action, que reste-il ?
L’Equilibre.

Swâmi Prajnânpad

mercredi 5 janvier 2011

Yoga, mon allié


Chacun a ses raisons propres pour débuter le yoga.
Certains commencent « shanti shanti » en sachant que, bien que les cours ne les passionnent pas, il s’agit peut-être (il paraît !) d’une pratique susceptible de les libérer du stress ou d’autres soucis. Ces personnes peut-être laisseront tomber la pratique ou bien qui sait, se passionneront pour le yoga abordé sous un angle différent par un professeur différent. Pour d’autres, il peut s’agir d’une révélation dès le départ.

Pour ma part, j’entrerais plutôt dans la 1ère catégorie, et je peux dire qu’aujourd’hui, tout en étant toujours en apprentissage, j’ai le plaisir de bénéficier largement des bienfaits du yoga que je pratique de façon quotidienne. Qu’il s’agisse du yoga que je pratique personnellement, et riche de diverses influences, à l’ashtanga que je découvre peu à peu ; cette pratique est devenue en quelque sorte mon moteur physique, et sa philosophie coule largement en moi, même s’il s’agit du travail d’une vie…

Ayant passé du temps en Inde, j’ai appris et apprécié de vivre avec un minimum de choses, et je ne peux maintenant me retrouver dans des lieux de frénésie, de bruit, de consommation excessive ou futile etc…
Or le yoga m’est, à ce niveau, une aide excellente au quotidien. Si la quête humaine ultime réside dans le bonheur, chacun le voit à sa façon, seulement les besoins essentiels, eux, restent les mêmes. Dans cette idée, et comme on le dit tellement depuis le 1er janvier : « Bonne Année ! Bonne santé ! Beaucoup de bonheur ! Que tes désirs se réalisent etc… », l’important est donc le bonheur et la santé !

Pour la santé, et d’une manière très simple, le yoga offre une réponse immédiate pour l’aspect physique : Une pratique régulière apporte de façon certaine forme, souplesse et agilité au corps. Pour ce qui est du mental, il en est de même. On ne peut éternellement dissocier les choses constituant notre vie. Le travail effectué au niveau physique, au bout d’un moment, touche automatiquement l’état d’esprit. De la même manière que le corps s’assouplit, l’état d’esprit se relâche, et ses tensions avec. La concentration et la stabilité d’une pose ou d’un exercice a forcément son action similaire sur les autres plans.

Pour ce qui est du bonheur…déjà il est intéressant de savoir ce qui nous rend réellement heureux, personnellement, et quelle est la nature de ce bonheur…Il s’agit d’un point très subjectif. En partant du fait de la temporalité de toute chose, parfois, il est bon de réfléchir à ce que l’on pense essentiel, ou ce que l’on désire justement. Par la méditation, on peut parvenir à un certain calme de l’esprit qui favorise cette stabilité et cet équilibre intérieur.
Et pour ce qui est des désirs, difficile de les éradiquer dans une société comme la nôtre, lorsque l’on peut-être frustré par son travail, son manque de temps etc…

L’idéal du yogi, étant justement d’éliminer ses désirs ! Ceci ne peut-être fait que grâce à un certains équilibre, une sorte de « voie du milieu », si un extrême appelle l’autre, comment si l’on ne se sent pas bien, ne pas tomber dans les extrêmes ?
Je ne dis pas qu’il faille suivre forcément une vie de moine ou de nonne, cependant, tant que l’on alimente ce qui ne nous correspond pas (peut-être même sans s’en rendre compte), il est difficile d’évoluer de façon significative.


Pour conclure, je dirais juste que la pratique du yoga, qui ne requiert absolument rien de particulier, juste soi même et la place pour s’étirer un peu, est quelque chose qui nous est « donnée » en quelque sorte, et que cela peut, si l’on s’y intéresse, nous apporter énormément…

Donc bonheur et santé sont compris….^^

Confessions d'une religieuse


"...Les "pauvres types" sont donc plus près du Royaume de Dieu? Pourquoi? mes frères chiffonniers me donnent peut-être la réponse:
ils sont...ce qu'ils sont.

Ils vivent dans la vérité de l'être, ils ne portent pas le masque beaucoup plus courant dans ladite "bonne" société où la "misère" intime est cachée sous une"grandeur" facilement superficielle.

Chez nous, où la situation est renversée, la "misère" flagrante creuse un appel à la "grandeur", aspiration de tout homme...mais à une grandeur authentique. Il suffit de l'apparition d'un détonateur: quelqu'un qui les aime, selon leur réponse à la police, quelqu'un qui leur apporte l'amour du Seigneur..."



Soeur Emmanuelle

mardi 4 janvier 2011

dimanche 2 janvier 2011

Reiki

Mon véhicule pour la connaissance.




...Merci Paskale...